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Alain Bonnefoit

Féminitude

Tokyo Gas-Park Tower, Shinjuku
Tokyo, Japon
8 – 27 février 2000
Commissaire d’exposition

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Après des études aux Arts Appliqués, aux Beaux-Arts de Paris, puis à Bruxelles, Alain Bonnefoit continue sa formation dans l’atelier du sculpteur Volti. A travers ses dessins, ses peintures, ses sumi-e et ses sculptures, Alain Bonnefoit est obstinément à la recherche de la ligne parfaite, faisant l’éloge de la femme, qui est pour toujours sa source d’inspiration infinie et dont il en est devenu la référence depuis plus de quarante ans. Peintre des Vénus, comme le qualifiait Hervé Bazin, il nous émerveille par son coup de crayon et nous offre rêve, sensualité et érotisme. Sa ligne claire, ses couleurs parfois douces parfois franches et sa lumière veloutée contribuent à la sensualité de ses compositions.

«Les modèles sont une part importante de mon travail. Chaque femme est différente et véhicule une personnalité et une émotion particulière. C’est ce que je cherche à saisir : l’instant magique qui fait que la pose est bonne parce que le modèle se sent libre. Autour de mes modèles alanguis, je dispose des motifs de kimonos ou de paréos ramenés de mes voyages. Parfois ce sont elles qui choisissent les couleurs, parfois c’est moi. Puis, la composition passe par mon oeil et ressort par mon pinceau», explique Alain Bonnefoit.

Au pays du Soleil Levant, source intarissable d’inspiration, où il se rend pour la première fois en 1973, il a apprivoisé l’art du sumi-e, technique minimaliste à l’encre de chine, qui donne au nu toute sa dimension. Lui qui expose à travers le monde, habite entre Montmartre (Paris) et San Donnino (Toscane), sait aussi prendre le temps de bien vivre et de goûter aux plaisirs de la bonne chair, étant un fin cuisinier, de nature sensible et généreuse. Amoureux des paysages toscans et des saveurs de la terre, il s’est mis à rêver “d’unir des courbes de femmes à des épaules de collines”, comme le disait Cézanne.

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Après des études aux Arts Appliqués, aux Beaux-Arts de Paris, puis à Bruxelles, Alain Bonnefoit continue sa formation dans l’atelier du sculpteur Volti. A travers ses dessins, ses peintures, ses sumi-e et ses sculptures, Alain Bonnefoit est obstinément à la recherche de la ligne parfaite, faisant l’éloge de la femme, qui est pour toujours sa source d’inspiration infinie et dont il en est devenu la référence depuis plus de quarante ans. Peintre des Vénus, comme le qualifiait Hervé Bazin, il nous émerveille par son coup de crayon et nous offre rêve, sensualité et érotisme. Sa ligne claire, ses couleurs parfois douces parfois franches et sa lumière veloutée contribuent à la sensualité de ses compositions.

«Les modèles sont une part importante de mon travail. Chaque femme est différente et véhicule une personnalité et une émotion particulière. C’est ce que je cherche à saisir : l’instant magique qui fait que la pose est bonne parce que le modèle se sent libre. Autour de mes modèles alanguis, je dispose des motifs de kimonos ou de paréos ramenés de mes voyages. Parfois ce sont elles qui choisissent les couleurs, parfois c’est moi. Puis, la composition passe par mon oeil et ressort par mon pinceau», explique Alain Bonnefoit.

Au pays du Soleil Levant, source intarissable d’inspiration, où il se rend pour la première fois en 1973, il a apprivoisé l’art du sumi-e, technique minimaliste à l’encre de chine, qui donne au nu toute sa dimension. Lui qui expose à travers le monde, habite entre Montmartre (Paris) et San Donino (Toscane), sait aussi prendre le temps de bien vivre et de goûter aux plaisirs de la bonne chair, étant un fin cuisinier, de nature sensible et généreuse. Amoureux des paysages toscans et des saveurs de la terre, il s’est mis à rêver “d’unir des courbes de femmes à des épaules de collines”, comme le disait Cézanne.

© Alain Bonnefoit  tous droits réservés mentions légales
© Christine Cibert  tous droits réservés mentions légales