Voici de bas en haut et de droite à gauche,
du plus ancien au plus récent, depuis l’année 2000 jusqu’à dernièrement,
des noms et des titres qui relatent de la plus grande majorité des photographes, peintres, sculpteurs, architecte ou collectionneurs,
que j’ai eu la chance de rencontrer au fil de ma vie, à travers les différents pays où j’ai résidé,
en France, au Japon, au Cambodge, en Corée du Nord, en Suisse, au Mozambique ou ailleurs,
pour qui j’ai eu un coup de coeur et pour lesquels j’ai choisi d’organiser une ou plusieurs expositions,
dans des galeries, des centres culturels, des festivals, des musées, des lieux publics ou des des boutiques, en intérieur ou en extérieur.
Alors, être commissaire d’expositions, comme on appelle ce métier en français ou être « art curator » comme on le nomme en anglais, cela veut dire quoi ?
Puisque curare signifie soigner en latin, cela veut donc dire prendre soin de l’art et des artistes, ce que je m’efforce de faire avec lesquels j’ai envie de collaborer,
dont j’aime les oeuvres et la démarche créatrice, que je cherche à faire découvrir, à mettre en scène et en valeur auprès du public à qui je raconte une histoire.
Travail en solo ou en équipe, qui peut paraître simple mais qui recèle de compétences d’organisation, de coordination, de conseil, de médiation,
de communication, de diffusion, de promotion, de vente, avant, pendant et après l’exposition, de l’accrochage au décrochage, du vernissage au finissage.
En bref, je suis la personne de l’ombre qui s’attache à mettre l’artiste en lumière, qui j’espère, va briller encore longtemps.