Skip to content
cc-cicrle-orange

Sohei Nishino

Diorama Maps

Gare JR de Kyoto, Kyotographie Photo Festival
Kyoto, Japon
19 avril – 11 mai 2014
Commissaire d’exposition

JR_CG

BIOGRAPHIE

Né dans la préfecture de Hyogo en 1982. Alors qu’il étudie encore à l’Université des Arts d’Osaka, Sohei Nishino commence à produire la série Diorama Map comme expression des icônes accumulées des villes, autour du thème de la mémoire.

En 2005, il remporte le prix d’excellence (décerné par Fumio Nanjo / directeur du Mori Art Museum) au New Cosmos of Photography de Canon. Il attire l’attention pour ses différentes expositions individuelles et collectives, notamment au Tokyo Metropolitan Museum of Photography et à la Saatchi Gallery de Londres.

Le Festival Kyotographie accueille une sélection des villes vues par Sohei Nishino de manière aérienne et avec une perspective unique, formant des souvenirs de lieux collés, de Tokyo, Kyoto, New York, Paris, Hong Kong, London, Istanbul, Rio de Janeiro et Jerusalem. Exposées au sommet de la gare JR de Kyoto, on y découvre en parallèle une perspective de l’ancienne capitale impériale du Japon comme une vue d’oiseau.

sohei_portrait copie 2

DIORAMA MAPS

« Les villes se développent et s’accumulent constamment en raison des développements culturels et économiques rapides. Je prends l’appareil photo dans mes mains et je me promène dans les villes. Je mets tous les fragments que j’ai photographié, comme le regard d’un oiseau, selon mes souvenirs et selon leur correspondance avec les cartes, pour créer des images spécifiques aux villes photographiées.

« Se déplacer » est un élément très important de ma série Diorama Map. L’œuvre naît lorsque je me dirige vers un endroit, rencontrant divers sujets tout en bougeant. En même temps, c’est aussi un test pour voir si je peux me reconnaître moi-même et le monde qui s’étend devant moi en projetant toutes mes activités photographiques sous forme de cartes.

Une unité (1 coupe / 35 mm) par image, chacune contient une figure significative de la ville. En les restructurant à nouveau de retour à mon atelier, les villes s’expriment à travers la mémoire et l’image. Ce qui ressort de cette procédure, ce ne sont jamais des cartes précises, mais plutôt des traces de la façon dont une seule personne voit et marche dans la ville. Ce sont des indices de la reconnaissance d’une personne, ainsi que la figure des villes comme incarnation d’énergies vitales », explique le photographe Sohei Nishino.

BIOGRAPHIE

Né dans la préfecture de Hyogo en 1982. Alors qu’il étudie encore à l’Université des Arts d’Osaka, Sohei Nishino commence à produire la série Diorama Map comme expression des icônes accumulées des villes, autour du thème de la mémoire.

En 2005, il remporte le prix d’excellence (décerné par Fumio Nanjo / directeur du Mori Art Museum) au New Cosmos of Photography de Canon. Il attire l’attention pour ses différentes expositions individuelles et collectives, notamment au Tokyo Metropolitan Museum of Photography et à la Saatchi Gallery de Londres.

Le Festival Kyotographie accueille une sélection des villes vues par Sohei Nishino de manière aérienne et avec une perspective unique, formant des souvenirs de lieux collés, de Tokyo, Kyoto, New York, Paris, Hong Kong, London, Istanbul, Rio de Janeiro et Jerusalem. Exposées au sommet de la gare JR de Kyoto, on y découvre en parallèle une perspective de l’ancienne capitale impériale du Japon comme une vue d’oiseau.

sohei_portrait copie 2

DIORAMA MAPS

« Les villes se développent et s’accumulent constamment en raison des développements culturels et économiques rapides. Je prends l’appareil photo dans mes mains et je me promène dans les villes. Je mets tous les fragments que j’ai photographié, comme le regard d’un oiseau, selon mes souvenirs et selon leur correspondance avec les cartes, pour créer des images spécifiques aux villes photographiées.

« Se déplacer » est un élément très important de ma série Diorama Map. L’œuvre naît lorsque je me dirige vers un endroit, rencontrant divers sujets tout en bougeant. En même temps, c’est aussi un test pour voir si je peux me reconnaître moi-même et le monde qui s’étend devant moi en projetant toutes mes activités photographiques sous forme de cartes.

Une unité (1 coupe / 35 mm) par image, chacune contient une figure significative de la ville. En les restructurant à nouveau de retour à mon atelier, les villes s’expriment à travers la mémoire et l’image. Ce qui ressort de cette procédure, ce ne sont jamais des cartes précises, mais plutôt des traces de la façon dont une seule personne voit et marche dans la ville. Ce sont des indices de la reconnaissance d’une personne, ainsi que la figure des villes comme incarnation d’énergies vitales », explique le photographe Sohei Nishino.

© Sohei Nishino  tous droits réservés mentions légales
© Christine Cibert  tous droits réservés mentions légales